Deux expositions du photographe Sacha Goldberger cet été :
- À l’Opéra National de Bordeaux, sa série «Portraits Croisés», exposée du 2 juillet au 7 septembre 2024.
- À Baden, pour le festival photographique de La Gacilly du 13 juin au 13 octobre 2024, avec ses deux séries «Extra not terrestre» et «I want to believe».
Il était une fois Sacha
Parlons un peu de ce véritable caméléon de la photo ! Ce gars-là, c’est pas juste un photographe, c’est un touche-à-tout créatif qui a plus d’un tour dans son objectif.
Plus de 20 ans à mitrailler de tous les côtés, il a fait ses armes sur des projets qui en jettent, que ce soit pour des opérations culturelles ou pour des grandes marques qui voulaient se démarquer. Et quand il fait ses trucs persos, les collectionneurs se battent presque pour avoir un bout de Goldberger chez eux !
Mais attendez, le meilleur arrive. En 2008, alors qu’il aurait pu se la couler douce, notre Sacha décide de retourner sur les bancs de l’école. Et pas n’importe laquelle : les Gobelins, s’il vous plaît ! C’est comme si un chef étoilé retournait en cuisine pour apprendre à faire des sushis.
Et puis, boum ! Il sort sa série « Mamika ». C’est l’histoire de sa mamie, mais version super-héroïne du quotidien. Les Français sont tombés sous le charme, normal ! Qui n’aimerait pas voir sa grand-mère jouer les wonder-woman ?
Mais Sacha ne s’arrête pas là. Il enchaîne avec « Super Flemish ». Imaginez Batman ou Spider-Man posant comme s’ils sortaient tout droit d’un tableau de la Renaissance. C’est décalé, c’est fou, c’est Goldberger !
Aujourd’hui, Sacha est tellement talentueux qu’il est devenu l’ambassadeur de Leica. C’est un peu comme si un pilote de F1 devenait le porte-parole de Ferrari, vous voyez le niveau ?
Et comme si ça ne suffisait pas, le voilà qui se lance dans le cinéma. Un long métrage, rien que ça ! On dirait bien que Sacha a décidé de faire bouger les images après les avoir figées pendant si longtemps.
Bref, Sacha, c’est le genre de type qui vous fait vous demander ce que vous avez bien pu faire de votre vie pendant qu’il créait, innovait et révolutionnait le monde de la photo. Mais bon, on ne peut pas lui en vouloir, il est tellement doué qu’on a envie de voir ce qu’il va nous sortir ensuite !
Portraits Croisés
Ah, parlons-en de cette série « Portraits Croisés » ! C’est comme si Sacha Goldberger avait décidé de jouer aux chaises musicales avec la culture, mais version photo. Et le résultat ? Un vrai feu d’artifice visuel !
Imaginez un peu la scène : le Covid fait des siennes, tout le monde est coincé chez soi, et voilà que notre Sacha a une idée de génie. Il se dit : « Tiens, si je prenais des stars d’aujourd’hui et que je les déguisais en icônes d’hier ? » Et hop, c’est parti !
François Berléand en Victor Hugo ? On dirait que l’auteur des Misérables a décidé de faire un tour dans notre époque ! Matthieu Chedid qui se la joue Chaplin ? C’est à se demander si -M- ne cache pas une moustache sous son chapeau habituel !
Et que dire de Guillaume Gallienne en Molière ? On jurerait que le dramaturge a décidé de faire un comeback pour voir si on joue toujours ses pièces correctement. Olivia Ruiz en Barbarella ? Jane Fonda peut aller se rhabiller (ou pas, d’ailleurs, vu le costume de Barbarella).
Mais attendez, le meilleur : Joey Starr en Toussaint Louverture ! C’est comme si l’Histoire et le hip-hop avaient eu un enfant. On se demande presque si Louverture n’aurait pas été rappeur s’il était né à notre époque !
Au total, c’est plus de 40 stars qui ont joué le jeu. On dirait une soirée costumée de luxe, mais version culturelle et artistique. C’est à la fois un cours d’histoire, une expo d’art et un méli-mélo culturel. Sacha a réussi à créer un vrai pont entre le passé et le présent, entre la pop culture et la grande Histoire.
Ces portraits, c’est comme un grand câlin à la culture. Ça nous fait rire, ça nous émeut, et surtout, ça nous rappelle que l’art, c’est sans frontières et sans époque. C’est un peu comme si Sacha avait organisé la plus grande fête costumée de l’Histoire, avec pour invités le gratin de la culture d’hier et d’aujourd’hui.
Portraits Croisés de Sacha Goldberg | |
Où | LE GRAND THÉÂTRE Place de la Comédie 33000 Bordeaux |
Quand | Du mardi 2 juillet au samedi 7 septembre 2024 |
Horaires | Du mardi au samedi de 13h à 18h30 (hors jours fériés). |
Entrée | Gratuite |
Info | opera-bordeaux.com |
Sacha Goldberger au Festival Photo La Gacilly
Ah, parlons un peu d’Alien Love, la dernière folie de Sacha ! C’est comme si E.T. avait décidé de faire un road trip à travers le Sahara, mais en version arty et décalée.
Dans la première série, notre Sacha nous balance 23 clichés en noir et blanc qui feraient pâlir d’envie Ansel Adams. On y voit un extraterrestre qui fait sa meilleure impression de « Seul au monde », sauf que là, c’est « Seul sur une planète desséchée ». Imaginez la Terre après que quelqu’un a oublié de fermer le robinet pendant des siècles !
Mais attention, ce n’est pas juste un manifeste écolo déguisé en science-fiction. Non, non ! Sacha, en vrai cow-boy de la photo, transforme ça en western existentiel. C’est comme si Clint Eastwood rencontrait Albert Camus dans un épisode de « La Quatrième Dimension ».
On a du surf sans océan, du skate sans bitume, et un meurtre de cactus à la Tarantino. C’est à se demander si Sacha n’a pas fumé le cactus avant de le tuer !
Passons à la deuxième série, « Extra Not So Terrestre ». Là, Sacha se la joue Spielberg sous acide. On a des soucoupes volantes qui ressemblent à des passoires Ikea, et un alien nommé Roswell (parce que pourquoi pas ?) qui transforme les humains en cactus avec un sèche-cheveux. C’est comme si « Mars Attacks! » avait été réalisé par un coiffeur fou.
Et le clou du spectacle ? Roswell, ce Don Juan intergalactique, qui décide de garder quelques femmes en vie. C’est un peu « Le Bachelor » version science-fiction, mais avec plus de vert et moins de roses.
Bref, avec Alien Love, le photographe nous prouve qu’il a plus d’imagination dans son petit doigt que la NASA dans tous ses ordinateurs. C’est un voyage interstellaire sans quitter la Terre, un trip psychédélique sans substances illicites. Alors, prêts à embarquer dans cette soucoupe volante artistique ? Attachez vos ceintures, ça va secouer vos neurones !
Festival Photo La Gacilly | |
Où | 56200 La Gacilly |
Quand | Du 21 juin au 3 novembre 2024 |
Horaires | Juin • Juillet • Août de 10H à 19H Septembre • Octobre • Novembre de 10H à 18H |
Entrée | Plein tarif 7 euros – tarif réduit 5 euros |
Info | festivalphoto-lagacilly.com |
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